La 26e édition du festival Fomaric, c’est du 6 février au 10 mars 2019 à Douala

La 26e édition du festival Fomaric, c’est du 6 février au 10 mars 2019 à Douala. Un anniversaire quart-de siècle plus un qui se fêtera donc avec un cadeau bien particulier, venu du plus haut sommet de l’Etat, pour la plus grande joie de son promoteur, l’artiste Nkotti François. En effet, depuis le 19 décembre 2018, l’association Fomaric (Foire musicale, artistique, industrielle et commerciale de Douala), organisatrice du festival Fomaric, est reconnue d’utilité publique par décret présidentiel N°2018/800. Ce qui lui confère désormais une légitimité officielle et quelques avantages de la part de l’Etat, comme des subventions par exemple.

Cette reconnaissance de la Nation est un palier supplémentaire dans l’existence de cet organisme dont l’évènement fait formellement partie du patrimoine et du calendrier de la ville sur les berges du Wouri depuis la signature, le 13 février 2017, d’une convention de partenariat avec la Communauté urbaine de Douala (Cud). Une convention qui avait été justifiée par Fritz Ntonè Ntonè, délégué du gouvernement auprès de laEn effet, depuis 1993, le Festival Fomaric, qui s’est appelé Fomaric tout court jusqu’à la 22e édition en 2015, permet aux habitants et aux visiteurs de la ville de Douala de se distraire pendant plusieurs fêtes du premier trimestre de l’année. Comme pour cette 26e édition où seront une fois de plus englobés la fête de la Jeunesse (11 février), la Saint-Valentin (14 février), la Journée internationale de la Femme (8 mars). Avec un ensemble d’activités permettant de couvrir tous les publics et toutes les catégories socio-professionnelles : une exposition-vente pour les entreprises, des scènes musicales, des espaces ludiques pour les enfants, des espaces récréatifs pour les adultes, un espace de commerce pour lutter contre la vie chère, etc.

Et depuis quelques éditions, le festival Fomaric, modèle de longévité dans le contexte camerounais, a Formalisé son volet vivre ensemble, avec des journées dédiées aux communautés. Pour respecter la tradition de terre d’accueil qu’a le Cameroun, au-delà de la seule ville de Douala. On n’oublie pas les aspects création d’emplois et génération de revenus pendant plus d’un mois. Une vraie œuvre d’utilité publique donc !

cameroon-Tribune

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